EXPOS
Du LUN au VEN : 8H à 19H30 – FERMÉ À PARTIR DU 25 OCT
VERNISSAGE LE 13 OCTOBRECette série invite à repenser notre relation actuelle avec notre environnement et à envisager un monde où nous sommes intrinsèquement connectés à la nature qui nous entoure. Dans ce futur imaginaire, la symbiose entre l’humain et la nature transcende la simple coexistence.
Les images révèlent des scènes de fusion étonnantes, où les têtes humaines se mêlent aux formes végétales, illustrant que l’union des deux est belle et riche de sens.
Chaque photographie capture un instant de cette coalescence, où l’individu et la nature deviennent indissociables, chaque tête étant un petit univers vibrant, prêt à raconter son histoire.
Au-delà de l’esthétique, cette série vise à éveiller les consciences sur l’importance de préserver et de respecter notre environnement.
Ce projet photographique est né d’un voyage profondément marquant au Sénégal. Plus qu’un simple déplacement géographique, ce fut une immersion humaine, une rencontre avec des regards, des sourires, des silences et des histoires. J’ai été touchée par la générosité, la dignité et la force tranquille des personnes que j’ai croisées, et c’est ce que j’ai voulu saisir à travers mes portraits.
Mon intention artistique est de donner une place centrale à l’humain, au travers de visages qui racontent bien plus que les mots. Chaque photographie est le fruit d’un moment partagé, d’une connexion – brève parfois, mais toujours sincère. Loin des clichés ou de l’exotisme figé, mon approche se veut respectueuse, bienveillante et authentique.
Ces portraits sont aussi un moyen de témoigner d’une Afrique vivante, belle, diverse, et souvent éloignée des représentations stéréotypées. Ils cherchent à mettre en lumière des individualités uniques, tout en évoquant une culture riche et vibrante. Le cadre, la lumière naturelle, les regards directs ou les instants volés participent à cette volonté de proximité et de vérité.
À travers cette série, je souhaite inviter le spectateur à regarder autrement, à ralentir, à rencontrer l’autre dans ce qu’il a de plus simple et de plus essentiel : son humanité.